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mercredi 16 mai 2007

Victoire ! La centrale de Brennilis

Annulation du démantèlement de la centrale de Brennilis recommandée en Conseil d'Etat
Le commissaire du gouvernement, magistrat indépendant chargé de dire le droit, a demandé l'annulation du décret en raison de "l'absence de mise à disposition du public d'une étude d'impact" des travaux de démantèlement de la centrale située dans les Monts d'Arrée, qui a fonctionné de 1967 à 1985. Le Conseil d'Etat doit rendre sa décision dans quelques semaines. Le décret de 2006, permettant un "démantèlement complet" de la centrale, faisait suite à celui de 1996, qui autorisait un démantèlement partiel. Le texte du 9 février 2006, signé par le Premier ministre Dominique de Villepin et les ministres de l'Economie, de l'Industrie et de l'Ecologie, a été attaqué par le réseau Sortir du nucléaire. Le commissaire du gouvernement Yann Aguila a estimé recevable l'un des motifs d'annulation soulevés par l'association écologiste, mettant en évidence "l'absence de mise à disposition du public d'une étude d'impact" des travaux. "Les centrales nucléaires, y compris leur démantèlement, sont soumises" à cette obligation prévue par une directive européenne de 1985, a rappelé le magistrat. Réalisée par le maître d'ouvrage, en l'occurence EDF, l'étude d'impact doit contenir un descriptif du projet et de ses conséquences sur l'environnement. Il s'agit "d'offrir au public concerné la possibilité de donner son avis avant que l'autorisation ne soit donnée", a insisté le commissaire du gouvernement. Or, dans le cas de la centrale de Brennilis, "le démantèlement a bien fait l'objet d'une étude d'impact mais celle-ci n'a pas été mise à la disposition du public avant que l'autorisation de démantèlement ne soit donnée", a fait valoir Yann Aguila, qui a rappelé que 700.000 habitants vivaient dans un rayon de 50 km autour de la centrale. En conséquence, le décret attaqué doit être jugé "contraire au droit communautaire" et annulé par le Conseil d'Etat. Le magistrat a en outre recommandé à la plus haute juridiction administrative de condamner l'Etat à verser 2.200 euros à Sortir du nucléaire au titre des frais de procédure. La centrale nucléaire des Monts d'Arrée, à Brennilis, fait partie des réacteurs français de la première génération. Unique exemplaire industriel français de la filière nucléaire à eau lourde, elle a alimenté la Bretagne en électricité de 1967 à 1985. Les opérations de démantèlement doivent durer jusqu'en 2018.
D'après le reseau sortir du nucléaire .

samedi 12 mai 2007

La fin du nucléaire


Ben oui, il fallait s'y attendre :
le nucléaire, ce n'est que 2% de l'énergie finale consommée dans le monde !
Donc, quand EDF clame "faisons le choix d'un monde sans CO2",
on se marre.
Le nucléaire,
c'est juste des catastrophes frolées à chaque Canicule, tempête, ou encore séisme.
Le nucléaire,
c'est déjà des millions de morts, et le problème des déchets qui s'entassent, et donc on ne sait quoi faire (les enterrer ne ferait que polluer les nappes phréactiques définitivement).
Le nucléaire,
c'est une grave menace terroriste sur nos centrales nucléaires.
Le nucléaire,
c'est de l'argent qui part en fumée alors qu'il pourrait être utilisé pour les énergie renouvelables-durables.
Stop au bourrage de crâne.
EDF ayant décidé malgré nos manifs de construire l'EPR,
nous annonçons que nous ferons tout pour annuler ce projet.
Commencez déjà à agir :
bientot vous pourrez (enfin) changer d'opérateur en electricité et prendre du 100% renouvelable.